Sous le cèdre invite à s’abriter sous l’arbre majestueux, pour chercher l’ombre, se protéger de la pluie, ou regarder la lumière à travers les branches horizontales. Ces textes font suite à En soie (Prix Création, Vallée de l’Huveaune, 2009). Après la descente dans les terres intimes, l’auteure explore le grand air. L’écriture tantôt travaillée comme la laque déposée en plusieurs couches pour augmenter la brillance, tantôt simplifiée à l’extrême, invite le lecteur à comprendre de quel bois il est fait. Le voyage poétique solitaire révèle l’expérience fabuleuse d’être en symbiose avec l’autre, si proche et si dissemblable, au point d’être d’une espèce différente, et ce pour un bénéfice mutuel : « Sous le Cèdre, je profite de la fraîcheur, regarde couler la sève dans mes artères (...) et permets aux branches de s’élever en massant les racines. »
La poésie et moi c'est une vieille histoire. Faut dire que la dernière fois que je m'y suis frottée, c'était en primaire avec les poésies que l'on nous faisait réciter. Et Mr de la Fontaine est loin d'être dans le même registre que Mme Thomas-Antérion.
Mais j'aime découvrir de nouveaux genres et de nouveaux auteurs. C'est pourquoi j'ai relevé le défi de découvrir ce recueil de poésie, édité par les Editions Baudelaire.
Ce fut non sans mal que je me suis plongée, pendant un de mes trop rares moments de calme, dans cette suite de texte. Oui car pour moi cela restera une suite de texte sans relation les uns avec les autres.
J'ai eu beau chercher, retourner les phrases dans tous les sens, je n'y ai malheureusement rien compris.
Où l'auteur cherche à nous emmener ? Que dois je comprendre ? Y a t il un but à ces textes ?
Autant de questions qui sont restées sans réponse après ma lecture.
La seule chose qui m'est venue à l'idée (clarté soudaine et fugasse) c'est que l'auteur m'a semblé s'être allongée sous un cèdre et a laissé son esprit divaguer, à récolté les différentes pensées, sensations qui lui venaient et les a couchées sur le papier. Cela n'engage que moi, bien évidemment.
Autant de questions qui sont restées sans réponse après ma lecture.
La seule chose qui m'est venue à l'idée (clarté soudaine et fugasse) c'est que l'auteur m'a semblé s'être allongée sous un cèdre et a laissé son esprit divaguer, à récolté les différentes pensées, sensations qui lui venaient et les a couchées sur le papier. Cela n'engage que moi, bien évidemment.
Il est donc indubitable que la poésie n'est pas un genre pour moi. Je n'ai manifestement pas la sensibilité ni la capacité de compréhension nécessaire pour lire ce genre de recueil. Il est difficile de ne mettre ici qu'un extrait de texte, donc je m'abstiendrais.
Je remercie tout de même les Editions Baudelaire pour avoir permis à des néophytes comme moi de tenter leur chance dans la lecture de poésie. Merci également au forum Livraddict qui nous permet de découvrir de nouveaux horizons livresques grâce aux nombreux partenariats organisés.
3 commentaires:
Dommage que la découverte n'ait pas été concluante... Va falloir revenir à Mercy Thompson ou Tara Duncan ;)
La poésie ne plait pas à tout le monde. J'avoue aimer lire Rimbaud, Hugo ou Shakespeare mais j'ai beaucoup plus de mal avec la poésie "contemporaine". Ceci-dit, c'est seulement parfois un état d'esprit. Il te faut maintenant passer à autre chose. Et les conseils d'Heclea ne sont pas mauvais.
Chacun son truc, il y en assez pour tous les goûts, bravo d'avoir essayé !
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